Martine Aubry: 50,02%
Ségolène Royal: 49,98%
42 voix d'écart entre les deux prétendantes, Aubry gagnant grâce à une poignée de militants. Royal battu conteste évidemment le résultat, et dénonce des fraudes. Comme si les fraudes réelles allaient toutes dans le même sens...
Le parti est donc divisé en deux, le personnalisme/présidentialisme de "Marie-Ségolène", comme celui de "Marion-Anne" de l'autre côté de l'échiquier, est un facteur de division. Ainsi, comme le FN, le PS est en train de s'effondrer, et c'est Nicolas Sarkozy qui se réjouit. D'ailleurs il ne fait aucun doute que le président français soutient de tout son coeur la victoire de Ségolène Royal et de Marine Le Pen. Avec elles, il n'a plus rien à craindre pour sa réélection en 2012.