La caste des intouchables.

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Sortie de crise à la SNCF

Après 15 jours de conflit, syndicats et direction de l'entreprise ont enfin renoué le dialogue et cette dernière l'a assuré : « aujourd'hui, nous sortons de la grève ».
La grève à la gare Perrache à Lyon -Jean-Philippe Ksiazek/AFPLa grève entamée le 6 avril à la SNCF à l'appel de la CGT-cheminots et de SUD-rail n'était plus très suivie. Mais elle ne semblait pas vouloir prendre fin. Ce mercredi, ça y est, les syndicats et la direction ont enfin entamé des discussions. Cette dernière devait d'abord recevoir la CGT, en début de matinée, puis l'Unsa, la CFDT et SUD-rail, lors de rencontres bilatérales. Dès la mi-journée, François Nogué, le directeur des ressources humaines de la SNCF, s'est félicité de discussions « très riches » sur l'emploi, le fret, l'organisation du travail ou encore les parcours professionnels et la pénibilité. Et a assuré : «Aujourd'hui, nous sortons de la grève ». Il a par ailleurs annoncé la tenue d'une table ronde à la mi-mai pour mener des négociations avec les syndicats.

En fin de matinée, à la sortie de sa réunion avec la direction, la CGT s'est de son côté montrée plutôt satisfaite, estimant que des garanties avaient été obtenues sur l'emploi. « Le budget recrutement 2010 sera dépassé au-delà des 2.300 recrutements prévus », s'est félicité Laurent Russeil, secrétaire général adjoint de l'organisation. Il a cependant laissé aux cheminots le soin de décider, lors d'assemblées générales, de donner ou non une suite au mouvement. Son analyse n'était pas partagée par les responsables de la CGT et de l'Unsa, reçus un peu plus tard, et qui ont déclaré qu'aucun recrutement supplémentaire n'avait été annoncé par rapport à ce qui avait pu être négocié il y a trois semaines. « On nous a juste informé qu'un ajustement pourrait avoir lieu en fonction des besoins », a précisé Jean-Michel Bigarne, secrétaire général de l'Unsa. De son côté, SUD-rail, qui prônait encore mardi la suite du mouvement, a annoncé dans l'après-midi qu'elle pourrait finalement ne pas se rendre à son rendez-vous avec la direction.

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Le mouvement social commencé il y a maintenant quinze jours est le plus long qu'ait connu l'entreprise depuis celui sur les régimes de retraites en 2007. Mercredi matin, il perdurait encore dans certaines régions mais dans la journée, les assemblées générales de cheminots ont presque toutes voté la reprise du travail et le trafic des trains revenait à la normal sur l'ensemble du réseau.

LES ECHOS

Là dessus, je crois sincèrement que le PSUNE devrait ce pencher sur le sujet; c'est tout bonnement plus supportable que ce ramassis d'incapable s'en tire à chaque fois et paralyse notre vie.
Entre les congés, les grèves incessantes et les vacances, ces individus ne savent même plus pourquoi ils travaillent ! Ou ne travaillent pas !! C'est tout de même un monde que le leur, mettons y un bon coup de plomb dans les pattes; la simple évocation du mot "travail" et "responsabilité" doit leur paraître complètement incongrue.

Une caste d'intouchables traitée bien differemment de celle observable en Inde, dommage