Le 9 novembre, dans 10 jours, ce sera le 15e anniversaire de la chute du mur de Berlin, qui eut aussi pour noms : «Mur de la honte» et également, «rampart contre les expions de l'Ouest» selon la propagande de la RDA...
J'avais à peine 10 ans quand c'est arrivé, et à l'époque, j'ai surtout été étonné par les histoires de membres d'une même famille qui ne pouvaient se rencontrer, que nos professeurs nous racontaient.
Je ne pouvais pas m'imaginer que cet événement était un des plus grand moment du XXe siècle et qu'il allait changer le monde.
Personne ne pourra dire que ce fut une mauvaise chose. Les régimes politiques totalitaires de l'Est n'étaient appréciés ni de l'intérieur (le mur, c'était pour empêcher la population de fuir), ni de l'extérieur. L'économie planifiée s'est avéré être un échec et même les communistes ont fini par l'admettre... dans ces pays là, la propagande était omniprésente et vraiment tout était faux !
Cet événement était nécessaire pour que l'Europe retrouve son unité.
En même temps, ça aura permi au capitalisme sauvage de reprendre du service, lui qui n'a plus besoin de montrer que Berlin-Ouest est une ville plus jolie, plus heureuse et moins grise que Berlin-Est.
Quel est votre impression face à ces événements qui ont secoué l'Europe plutôt positivement ?