La hausse du prix du pétrole

Le nouvel ouragan Rita qui va assaillir le Texas pourrait engendrer une nouvelle hausse du pétrole.
Quelles seront les répercussions de cette hausse sur l'économie mondiale, sur la globalisation ?

Il y a des déja des dommages collatéraux, par exemple le secteur de la pêche est à l'agonie. Le prix d'un plein aurait doublé en un an.
sinon au niveau mondial, les pays producteurs vont encore faire des bénéfices colossaux, tout comme Total...

qu'ils le boivent leur pétrole et on leurs craquera une allumette au cul.

Le petrole ne cesse de grimper, tout va dans ce sens, meme la nature !
Une veritable cohesion de l'elements diverses, comme des catastrophe, de la geo politique, l'economie, qui mient bout a bout, laissent preque "reveur"
C'est a croire, que le sort s'acharne sur ce monde, et plus precisement, a ce qui fait tourner ce monde, l'or noir !
Et ce n'est pas plus mal, qu'il monte le prix du petrol !

D ailleur a ce sujet, vous n'auriez pas un site ou l'on pourait suivre l'evolution de son coup journalier ??
J'ai cherché, mais pas trouvé...ca doit pourtant bien exister !

Dans le Figaro de ce matin:

Citation :

La menace d'un nouveau cataclysme inquiète, le Texas concentrant à lui seul 23% des capacités de raffinage du pays
Le prix du baril de pétrole une nouvelle fois sous pression

F. M.
[23 septembre 2005]



Rita fait bondir les marchés pétroliers. Alors que l'ouragan se rapproche du Texas, le baril a gagné près d'un dollar hier à New York, à près de 66,5 dollars. A Londres, le baril évoluait juste sous les 66 dollars dans l'après-midi.


Cette fièvre s'explique aisément. Le Texas concentre 23% de la capacité de raffinage des États-Unis. Or, dès hier, les deux géants pétroliers britanniques BP et Shell ont annoncé avoir fermé toutes leurs installations dans la région. BP a interrompu en particulier l'activité de sa raffinerie de Texas City, la plus grosse du groupe outre-Atlantique, qui traite jusqu'à 470 000 barils par jour.


Ces fermetures interviennent alors que le golfe du Mexique, l'autre région pétrolière majeure aux États-Unis, fonctionne déjà à l'extrême ralenti. Selon les autorités américaines, plus de 600 plates-formes et raffineries ont été évacuées : environ 92% de la production pétrolière du golfe du Mexique – qui fournit un tiers des livraisons du pays – ont été suspendus de facto.


Indépendamment des conséquences de Rita, le chef de la diplomatie saoudienne, Saoud al-Faysal a insisté hier sur l'insuffisance de l'outil de raffinage mondial. «Le problème fondamental de la crise énergétique actuelle est que les raffineries sont incapables de répondre à la demande», a-t-il exposé lors d'une conférence aux États-Unis. Rappelant aussi que seule l'Arabie saoudite dispose d'une marge de production supplémentaire significative, de 1,5 à 2 millions de barils par jour.


Mais l'équation de Riyad, véritable chef de file, est simple : à quoi bon mettre plus de pétrole sur le marché alors que les pays consommateurs n'ont pas les infrastructures pour le raffiner. En l'occurrence, l'Arabie saoudite pointe du doigt l'outil de raffinage américain, qui n'a bénéficié d'aucun gros volume d'investissements depuis plusieurs années. Pour autant, la capacité insuffisante de cet outil ne constitue pas la seule difficulté à régler. Il lui faut également s'adapter à de nouveaux produits. La demande mondiale est d'abord tirée aujourd'hui par des produits «légers», dans le sillage des nouvelles normes de certification des carburants.


De son côté, en marge des turbulences actuelles, l'Agence internationale de l'énergie (AIE) s'est voulue rassurante sur l'approvisionnement de la planète en hydrocarbures. Selon l'Agence, qui vient de publier un rapport sur le sujet, il n'y aura pas de pénurie dans un avenir prévisible. En revanche, les investissements d'exploration-production vont devenir de plus en plus lourds. Toujours selon l'AIE, plus de 5 000 milliards de dollars seront nécessaires sur les prochaines décennies pour satisfaire la demande mondiale. L'Agence préconise également «un effort important et soutenu de recherche et développement», nécessaire pour améliorer les technologies d'extraction.

http://www.lefigaro.fr/international/20050923.FIG0197.html

Citation :

De toutes façons, avec la hausse du prix du pétrole et la détérioration des relations
internationales, les voyages intercontinentaux vont finir par disparaître. Les mondialistes de tous
poils seront bien attrapés. Donc les Européens ne sortiront pas d'Europe, tout simplement parce
que cela serait dangereux et coûteux. Le tourisme de masse ? Terminé. La mondialisation de
l'économie ? Terminé.

Je suis en accord complet avec ce que tu as dit à un récalcitrant sur **** !