Moralité: le degré de corruption est encore très fort, car il faut appeler un chat, un chat. Et cela veut aussi dire que les autres pays européens doivent se montrer solidaires du peuple grec.
Ceci dit, je crois sincèrement au caractère artificiel de la dette grecque (et par extension de la dette européenne cumulée) puisque nous sommes victimes de l'économie du "tiers-monde" (Chine notamment) et que l'absence de protectionnisme économique européen nous démunit face à cela.
Une première mesure, très impopulaire aux yeux du système global, serait la nationalisation des biens étrangers en Europe.