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 Une définition du paganisme

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MessageSujet: Une définition du paganisme   Une définition du paganisme EmptySam 15 Oct - 10:50

Citation :
Il me paraît nécessaire en guise d’introduction générale, de préciser au lecteur mon point de vue sur le paganisme et le néo-paganisme et d'expliquer au lecteur ce qu'il faut comprendre, selon moi, du fil directeur de cette rubrique (réalisée, je précise, par plusieurs auteurs)…

Définition originelle du paganisme Pour les premiers chrétiens qui s’attachaient à diffuser le christianisme dans les campagnes, païen vient du mot latin paganus qui signifie paysan. Il s’agissait évidemment de gens qui étaient très peu connaisseurs du christianisme et de ses doctrines, et qui restaient donc attachés à leur terre et à toutes les légendes, cultes, qui y étaient liés. Ainsi, les chrétiens déclaraient qu'étaient païens tous les paysans restés attachés à des cultes et à des traditions non chrétiens et relevant d’un certain panthéisme (c'est-à-dire une certaine osmose avec la Nature) ou/et de cultes et traditions greco-romaines. On pourrait donc logiquement traduire le terme paganisme comme « l’ensemble des cultes polythéistes préchrétiens » et par conséquent, les Païens sont des habitants des campagnes (c'est-à-dire à l’époque la majorité de la population occidentale) ayant conservé leurs cultes et croyances, traditions, face à la christianisation en cours. En fait, ce terme, désignait plus ou moins directement les ennemis à combattre : les adeptes des anciennes croyances greco-romaines notamment. Il serait pourtant totalement erroné de penser qu’il a existé une véritable résistance de la part de ces païens : c’était bien plus une méconnaissance et une méfiance qu'un combat de tous les jours !


Si vous me permettez un petit interlude historique, je rappellerais quelques points...
La lettre de Constantin (et non l’édit), datant de 313, légalise le christianisme et en fait une religion officielle ; à la fin du IVe siècle, Théodose Ier fait fermer tous les temples païens et interdit les cultes polythéistes, faisant du christianisme la religion unique et officielle de l'empire. Le IVe siècle a donc vu la victoire quasi fulgurante du christianisme, bien mieux organisé et influent que le panthéon romain auquel la majeure partie de la population romaine ne croyait plus que par devoir de mémoire et de culture et non par véritable croyance. Jules César, déjà, pourtant Grand Pontife (chef de la religion romaine), était athée et n’exerçait son office que par respect institutionnel. D’ailleurs, l’absence de bonne organisation et d'unité du paganisme romain ou même des autres types de paganismes européens, a favorisé grandement la diffusion et l’imposition du christianisme, qui leur était bien mieux organisé.
Dès le début, le christianisme s’est diffusé avant tout dans les élites patriciennes et est en quelque sorte le prolongement de formes d’hénothéismes (religion polythéiste avec un dieu dominant) et de cultes de dieux sortis de leur contexte comme Hercule et Apollon, dont certains Empereurs se sont fait les adorateurs (ex : Commode ou Héliogabale).
La diffusion fut avant tout urbaine, et les campagnes ne furent guère touchées.

Ainsi le paganisme désignait, à l’époque de la diffusion occidentale du paganisme (fin Ve-Xe siècles), les habitants des campagnes et non des villes, déjà christianisés…

Voilà la définition assez précise et originelle du paganisme…

Cette définition, utilisée dès le IVe siècle ap. J-C, a été au fil des premiers siècles, adaptée et redéfinie afin finalement de décrire tous les « cultes polythéistes anciens non chrétiens », souvent mal définis, ce que les chrétiens d’ailleurs appellent bien volontiers superstitions dans les canons des conciles censés diriger la doctrine chrétienne et organiser la christianisation de l’Occident. Par exemple, dans le concile d’Orléans de 511, présidé par Clovis lui-même.
Les chrétiens nommaient à l’origine les païens gentes, en d’autre terme le peuple vulgaire, non civilisé et étranger. A l’origine, ce terme était utilisé par les Juifs hellénistes qui qualifiaient ainsi les étrangers, mais son sens fut approprié par les chrétiens qui dénommaient ainsi les païens dans leurs livres saints. On peut y voir d’ailleurs une forme d’avatar du terme greco-romain barbare, ce qui n’est en fait pas du tout paradoxal car dès le Ve siècle et la chute de l’empire romain, c’est bien l’Eglise (et son institution) qui devient garante de la romanité et d’une certaine forme de pérennité de celle-ci. Il ne faut pas en conclure, comme certains, que la chrétienté a sauvé l’empire romain ou la romanité, mais plutôt qu’elle se l’est appropriée pour l’instrumentaliser et arriver à ses fins, à travers les siècles de l'Histoire (jusqu’à l’époque contemporaine), mais c'est hors de propos...



Evolution du terme…

Pendant toute la « période chrétienne » en Occident et jusqu’à l’époque contemporaine, les chrétiens percevaient le paganisme comme un ensemble de formes d’idolâtrie et de superstition, affirmant qu’il s’agissait de « faux dieux ». A partir du développement de la pensée et des Lumières (XVIIe-XVIIIe siècles), en France en premier lieu, paganisme fut synonyme d’athéisme (qui n’existait d’ailleurs plus depuis l’époque romaine antique) voire de libéralisme moral et culturel.
Aujourd’hui, le paganisme revêt une nouvelle forme : celle d’une vision du monde (Weltanschauung), explicité et débattu par des intellectuels et écrivains tels qu’Alain de Benoist, Pierre Vial, Robert Dun ou Guillaume Faye. Selon eux, le paganisme est une forme de mentalité, une notion dite universelle, qui se réfère à l’origine de l’existence d’un foyer indo-européen, induisant le fait que toutes les cultures et les sociétés européennes ont des racines communes (indo-européennes)…

Mais ne faudrait-il pas différencier paganisme et néo-paganisme ?



Mon avis sur la question

Ma démarche n’est pas celle d’un intellectuel-philosophe essayant de définir le paganisme comme morale universelle et quasi-éternelle, n’ayant pas péri avec la longue période d’« acculturation chrétienne ». Non pas que je condamne cette vision, mais je préfère la redéfinir dans un cadre, il est vrai peut-être un peu trop historico-centrique pour certains, mais à mon avis sémantiquement plus réaliste…

Je crois que l’on peut difficilement dire de vous que vous êtes païen et vous ne pouvez encore moins vous auto-proclamer païen. Comme je l’ai expliqué avant, le terme païen vient des chrétiens qui l’ont inventé pour qualifier les résistances cultuelles antérieures et différentes d’eux lors de la diffusion du christianisme dans les campagnes occidentales entre le IVe et le Xe siècles de notre Ere. Il ne s’agit donc pas d’un attachement culturel (le paganisme ne correspond pas à une réalité précise, mais à des centaines de cultes et religions qui n’ont que très peu de choses en commun à part justement celle d’être la victime de la montée du christianisme) mais cultuel d’où provient le terme païen originel (étymologiquement) et de là vient mon 2e point de réflexion…
On ne peut se dire païen car cela voudrait dire que l’on adhère à l’« ensemble des cultes polythéistes préchrétiens », ce qui est faux pour n’importe quel païen, sauf s’il sombre dans le ridicule (comme je viens de le montrer) ! De même quelqu’un d’autre ne peut en principe pas vous qualifier de païen car ce serait se référer à une vision cultuelle et je ne crois pas que beaucoup de « païens » respectent bien les cultes de la forme de paganisme dont ils sont issus et si oui, ils s’adonnent aux cultes d’une forme de paganisme (odhinisme, celtisme, etc…) et non à toutes, donc cela reste flou.

Il faut bien comprendre que culturellement, le christianisme est originellement issu de l’empire Romain dont il a perpétué certaines formes de cultures, pour imposer sa religion. Donc de ce point de vue déjà, se dire païen a un sens plus que réduit… De plus, le paganisme n’a jamais été une réalité cultuelle unifiée et correctement organisée (comment alors se prétendre païen ? Païen oui mais de quel type !?), dans son ensemble et même pour chaque forme de paganisme en particulier.

En conclusion, je dirais que se prétendre païen, ce serait à la fois prétendre relever de la pratique cultuelle de toutes les formes de paganisme occidentaux (pour un païen qui prend la peine de préciser occidental ou européen, car dans la définition du mot païen comme je l’ai expliqué, les cultes et religions africaines antérieures à la diffusion du christianisme missionnaire, pourraient alors se revendiquer païennes, de mêmes pour les Amériques !) et de plus, ce terme a tellement été galvaudé qu’il en a perdu son sens originel. Je suis personnellement attaché à l’étymologie et aux valeurs sémantiques de notre vocabulaire, donc laissons le terme païen où il est, c’est-à-dire dans le passé : depuis la vague multi-séculaire du christianisme en Occident, il n’y a plus de païens, car culturellement (à défaut de cultuellement), tout le monde a été christianisé, qu’il le veuille ou non.


Retourner vers des valeurs ancestrales, païennes, comme le voudraient certains (comme moi) n’est pas se revendiquer païen (réalité historique et anachronique comme j’ai essayé de le montrer), mais plutôt néo-païen, européen, identitaire, etc…
Je crois que pour ceux qui veulent prouver qu’ils se réfèrent, en plus d’un européanisme actif ou non, à une forme de culture, de culte et de pensée, etc… bien précis, utiliser directement le terme Romain, Celte, Nordique (précédé de néo- selon les cas et le contexte), me semble bien plus pertinent…

A mon avis, le terme païen est lourd de symbolique et permet la genèse d'une certaine image dans l'esprit de beaucoup, érudits et surtout profanes. Le terme néo-païen déplait également beaucoup de ceux qui se prétendent « païens », car il suppose une forme de « paganisme de carnaval », c'est-à-dire un paganisme assumé de manière non-consciente et non-réfléchie où celui qui s’y adonne n’est pas sincère mais plutôt passéiste et nostalgique. Je crois qu'il s’agit d’une erreur car le néo-paganisme peut relever d’un ensemble de conceptions diverses, ayant en commun la conception d’une identité commune (indo-européenne en ce qui concerne le néo-paganisme de souche européenne) et faisant fi des différences existant entre les différentes formes culturelles « païennes » pour se raccrocher à une vision plutôt originelle d’un peuple indo-européen.
En définitif, le terme aujourd'hui obsolète de paganisme fait référence à une réalité passée et possède une connotation cultuelle ; le néo-paganisme (contemporain) plonge, quant à lui, ses racines dans une représentation, parfois idéalisée, de cette réalité et possède indéniablement une connotation culturelle. Voilà pourquoi, principalement, les deux termes sont différents...

Comme le disait Christian Bouchet : « Nous parlons de néo-paganisme car nous traitons de religions recréées à partir de mythes, de documents historiques ou ethnologiques, plus ou moins bien utilisé et compris, voire de religions créées de toutes pièces. Le terme paganisme sera, lui, strictement réservé à des formes religieuses traditionnelles originelles. ».
En fait, je pense qu’alors il serait carrément plus judicieux de parler d’européanisme…
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MessageSujet: Re: Une définition du paganisme   Une définition du paganisme EmptySam 15 Oct - 10:50

Citation :


Identitarisme et européanisme : une vision actuelle du paganisme ?

Une rubrique sur PostChrist est consacrée à ce sujet, animée par un autre membre de l’équipe. Je me permets juste ici de faire un point personnel sur ce que j’entend par là et sur mes conceptions de la défense de notre culture… Je précise que je ne fais absolument pas de politique, n’étant d’ailleurs absolument pas politisé, mais juste un rappel sincère et purement logique, voire historique du contexte...

Tout d’abord, je pense très important de bien comprendre et se rappeler que les notions de « défense de sa culture et de ses traditions », « la croyance en une identité indo-européenne », sont des thèmes repris par l’extrême-droite. L’extrême-droite n’est pas un mouvement uni et homogène, très loin de là ! Elle regroupe de nombreuses tendances, idées et conceptions souvent assez différentes avec quelques points communs. Elle est devenue depuis une cinquantaine d’années une « tendance » très mal vue du commun des mortels, de par le récent (à l'échelle de l'Histoire de l'homme) passé déviationniste qu’elle traîne dans son sillon. Pourtant, être d’extrême-droite n’est pas être fasciste ou nazi, c’est un amalgame, blessant, dangereux et souvent dénué de raison. Par exemple il existe de rudes différences entre le racisme primaire qui vise à établir une hiérarchie de races, dont une dominant les autres, et des « sous-races » (ce qui est d’ailleurs d’un point de vue logique, idiot : conférer une valeur qualitative à une culture ou une race relève du non-sens !) et le racialisme qui prône un « chacun chez soi » afin d’éviter le cosmopolitisme massif qui amène une aliénation des cultures et donc de l’identité des peuples. Il y a une différence entre privilégier, admirer et mettre en avant la culture et les traditions de son peuple et dénigrer celle des autres…
Tout ceci est à prendre en compte par le lecteur désireux de ne pas sombrer dans le « lavage de cerveau » opéré souvent par les médias et la société bien-pensante. Je ne suis pas en train de vous convertir, juste de vous mettre en garde contre des jugements trop hâtifs qui dénaturent la réflexion et voilent le sens des réalités.

Je répète : il ne sera pas question dans cette rubrique (ni même d’ailleurs sur ce site) de politique, cela ne m’intéresse pas, n'a aucun rapport avec le Black Metal (n'en déplaise à certains) et n’a pas de rapport avec l’objectif que je me suis fixé avec cette rubrique et PostChrist ; je tenais juste à faire le point pour éviter les préjugés et amalgames. C’est donc ici un trait que j’évoque pour la première et dernière fois…



J’en viens donc au sujet qui nous concerne : l’identitarisme et l’européanisme.

Il me paraît évident de se placer du côté de ceux qui prône la sauvegarde de l’identité européenne lorsque l’on voit les dangers du cosmopolitisme (poussé), de la mondialisation et de l’islamisation :

• Pourquoi le cosmopolitisme et la mondialisation ? Parce qu’à vouloir instaurer un ordre et une culture mondiale, on en vient à renier les particularismes nationaux et donc l’évidence ethnique ou culturelle qui est bel et bien différente selon que l’on parle d’Inde, d’Afrique Noire ou d’Europe. Chaque peuple, chaque nation, possède ses propres cultures, ses propres valeurs, ses propres repères et vouloir faire de chaque individu, un citoyen du monde, cela vient à nier son origine et ses propres valeurs originelles. Moi qui prône l’individualisme, je ne peux non plus tolérer la négation de son extrapolation à une communauté (forme de personnalisme donc)

• Pourquoi l’islamisation ? Car elle représente une culture complètement étrangère à la nôtre et que depuis une quarantaine d’années, sa croissance devient à mon avis inquiétante car elle amène un certain conflit de cultures en Europe occidentale. L’intégration suppose une adoption de la culture en place dans le « pays », le « continent », dans lequel arrive l’immigrant, sa famille et ses proches descendants. Avec une culture aussi forte et expressive que l’Islam, il est très difficile d’opérer une quelconque intégration. Ce mouvement est plus flagrant aujourd’hui et depuis une quinzaine d’années : les jeunes générations se « communautarisent » bien plus volontiers que leurs parents ou leurs grands-parents…

Il ne faut également pas oublier que cette identité repose aussi sur une conception anti-chrétienne (certains diront achrétienne comme Pierre Vial, mais je considère ça comme utopique car ce serait nier l'apport évident du christianisme à travers les siècles, en Occident). Aujourd’hui, avec les problèmes de conflits de cultures, beaucoup estiment (à tord ou à raison) que le combat contre la chrétienté n’est plus vraiment à l’ordre du jour, mais c’est oublier que chrétiens comme musulmans ont dénaturé notre identité. S’il faut bien faire passer devant certaines priorités, il ne faut pas pour autant oublier les autres !

Finalement, mais nous sortons de notre sujet, la religion à elle seule apporte l’avilissement et l’endoctrinement et reste, rien que pour cela, un objet d’étude mais de refus, qu’il faut combattre…



En définitif…

Ma vision du paganisme n’est pas celle d’un opportuniste, mais je dois bien admettre qu’il s’agit à la base d’un mélange entre une profonde conviction anti-religieuse, notamment anti-chrétienne, doublée d’une forte passion historique qui s’est progressivement mue en un véritable amour pour certaines périodes passées et notamment la Rome antique…
Cependant, il ne faut pas perdre d’esprit que le paganisme de l’époque préchrétienne était une forme avant tout cultuelle comme je l’ai suffisamment répété, alors qu'aujourd’hui il s’agit d’une conception, il est vrai, avant tout culturelle. Ainsi, si je respecte et pratique certains rites traditionnels romains, ce n’est nullement d’un point de vue cultuel (si le(s) dieu (x) monothéiste(s) n’existe(nt) évidemment pas, pourquoi affirmerait-on qu’il en est autrement des antiques dieux polythéistes ?) mais uniquement pour respecter et mettre en pratique une identité culturelle : la mienne …

Je ne suis pas vraiment passéiste, mais je dois avouer que je n’ai pu dans un sens m’empêcher de me construire tout un mythe idéalisé de cet univers romain. Pourtant, je connais la réalité et je ne me voile pas la face, ceci n’aliène nullement ma perception de la réalité historique (ce qui est ma profession) car je m’attache toujours (comme d’ailleurs pour le site PostChrist), à différencier deux visions qui m’ont amené à entamer une double réflexion aboutissant à une conception plus culturelle que socio-politique, voire historique :

1) D’abord une conception romaine, « de cœur »,
2) Ce qui m’amène à défendre les valeurs historico-culturelles qui m’ont toujours passionnées et qui aujourd’hui, plus que jamais, se sont affirmées et définies de manière plus précises dans mon esprit et dans mon cœur. Ceci passe par une conception européenne que je qualifierais plus « d’esprit ».
Pourtant, je crois sincèrement que s’il est nécessaire de définir le paganisme, le néo-paganisme et le maximum de termes qui nous permettent d’appréhender de manière plus concrète et objective toutes ces notions, s’il est indispensable d’aborder en partie cette rubrique et la paganisme d’une manière scientifique, il ne faut surtout pas oublier que le néo-paganisme, comme tel, est avant tout une conception de cœur plus que d’esprit.

Baalberith
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MessageSujet: Re: Une définition du paganisme   Une définition du paganisme EmptySam 15 Oct - 11:28

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